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bionomique - Le premier verre biosourcé

Explication photo bionomique petit format.jpg

Les plantes absorbent du CO2 lors de leurs croissances.

Ainsi, du carbone est séquestré dans la biomasse (sous forme de bois, de feuille, etc.) et dans les sols (carbone organique).

Les plantes sont consommées, récoltées ou meurent naturellement.

L’immense majorité du carbone contenu dans ces plantes retourne un jour ou l’autre à l’atmosphère et participe ainsi au cycle du carbone.

En effet, lorsque de la biomasse est récoltée, le carbone qu’elle contient est rendu à l’atmosphère, soit rapidement et directement (lors d’un brûlage), soit indirectement et plus lentement (par décomposition par exemple).

L’utilisation de biomasse énergie est généralement associée à l’idée de facteur d’émission zéro CO2.

Il y a la biomasse de cycle long (bois) et la biomasse de cycle court (biomasse hors bois), par exemple les pailles des céréales où les émissions de CO2 sont supposées compensées par la croissance des plantes à l’échelle de l’année.

En effet, lorsqu’un blé croît, il capte du carbone atmosphérique pour constituer sa propre biomasse. Si les pailles sont brûlées, le carbone est libéré par la combustion. Si elles ne sont pas brûlées, le carbone est également libéré rapidement après dégradation de la paille ou consommation par les animaux.

Le bilan annuel entre absorptions et émissions est considéré égal à zéro.

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L’utilisation de biomasse à des fins énergétiques représente un enjeu important et l’utilisation de biomasse doit être logiquement favorisée.

L’utilisation de biomasse à fin énergétique est associée à plusieurs bénéfices et permet à priori :

â–ª de se substituer à des sources d’énergies fossiles non renouvelables,

â–ª de limiter une dépendance commerciale et énergétique (importation d’énergies fossiles),

â–ª de développer des filières économiques locale,

â–ª de générer potentiellement des émissions négatives…

 

Presque tous les pays industrialisés obtiennent la majorité de leur électricité à partir de la combustion de combustibles fossiles.

Seuls le Canada et la France sont l'exception.

L'électricité que nous utilisons à la maison et au travail a un impact considérable sur les émissions de gaz à effet de serre.

 

80% des émissions mondiales de gaz à effet de serre associées à l'utilisation de l'énergie proviennent du CO2 dégagé dans l'atmosphère par la combustion d'énergies fossiles. 

Les 3 types de combustibles fossiles qui sont les plus utilisés sont le charbon, le gaz naturel et le pétrole.

Le charbon est responsable de 43% des émissions de dioxyde de carbone provenant de la combustion de combustibles, 36% sont produites par le pétrole et 20% proviennent du gaz naturel.

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Le contenu en carbone biosourcé (bio-based carbon content) se focalise quant à lui sur le carbone, et est généralement exprimé en pourcentage du carbone présent dans le produit (carbone organique ou carbone total).

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Ainsi les verres BIONOMIQUE d’indice 1.6 sont composés à 46% de carbone biosourcé.

Cette composition organique permet donc de réduire l’impact CO2 dans l’atmosphère car l’impact carbone est considéré à 46% neutre.

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